Santiago de Chile

Peut-être que pour pouvoir dire avec ses photos « regardez comme le monde il est beau, regardez comme il est gentil », il faut savoir que ce n’est pas vrai, il faut le dire en ayant conscience que ça n’est qu’un sourire dans une horreur. On se doit de photographier, d’aimer, « le courage discret, l’endurance de ceux que nous côtoyons tous les jours », de manière tendre ou violente, mais jamais avec la dégoulinante condescendance du fasciste latent.

Carlos Fernandez Correa est le premier portrait de la galerie répondant au nouveau tag chili de la galerie, qui propose un bref aperçu de l’album du même nom.